INEA signe une excellente performance au premier semestre 2021

Résultat net +78%
Chiffre d’affaires +14%
Résultat net récurrent par action +5,3%
ANR NDV par action +7,8%


Le Conseil d’administration d’INEA (ISIN : FR0010341032), spécialiste de l’immobilier de bureaux neufs en Régions et leader du Green Building, a arrêté lors de sa réunion du 27 juillet 2021 les résultats semestriels consolidés au 30 juin 2021[1].

Ces résultats traduisent une excellente performance opérationnelle et l’amplification de la création de valeur sur le patrimoine.


Chiffre d’affaires (+14%) et Activité locative (+24%)

Au 30 juin 2021, le chiffre d’affaires consolidé atteint 25,9 M€, en croissance de 13,8% sur 12 mois, et de 21% au regard du 30 juin 2019.

Cette hausse est liée principalement à l’entrée en exploitation de 9 nouveaux immeubles au cours des douze derniers mois, qui ont généré 3,6 M€ de revenus supplémentaires, légèrement compensés par l’impact négatif (-0,1 M€) des cessions réalisées en 2020 et 2021.

Elle est également due à l’évolution positive des loyers à périmètre constant, qui progressent de 2,8% hors impact des franchises (et de 3,8% avec).

L’activité locative a été soutenue ce semestre (38 baux pour 22.600 m² soit +24%), avec notamment la commercialisation à 100% de deux immeubles livrés fin 2020 : « Vision » à Strasbourg (5.235 m²) et « Au Bord de l’Eau » à Lille (2.962 m²).

La signature de nouveaux baux a ainsi permis de compenser les départs de quelques locataires et de maintenir le taux d’occupation financier stable à 91,7%.


Résultat net récurrent par action (+5%)

INEA a enregistré au premier semestre des dépenses exceptionnelles liées à sa volonté de répondre dès à présent aux obligations réglementaires (notamment ESEF et Dispositif Eco Energie Tertiaire) et à l’actualisation de sa feuille de route RSE.

Le résultat net récurrent d’INEA s’affiche ainsi en hausse de 5,5%, à 11,4 M€. Au regard du 30 juin 2019, la progression est de 38%.


Une dette compétitive

L’endettement de la Société s’élève à 384 M€ au 30 juin 2021.
Le taux moyen d’endettement est compétitif à 2,03% (1,64% hors obligataire), et la maturité moyenne des emprunts est de 4 ans.

La dette d’INEA est couverte à 73% contre le risque de fluctuation des taux.
Les covenants applicables à la dette d’INEA sont parfaitement respectés au 30 juin 2021 :


Accentuation de l’appréciation du patrimoine

Le patrimoine d’INEA continue de s’apprécier de semestre en semestre, ce qui se traduit dans les comptes du 30 juin 2021 par une création de valeur de 14,5 M€.
4 nouveaux actifs acquis en VEFA et à livrer sous 6 mois ont été expertisés pour la première fois.

Le taux moyen de capitalisation retenu par les experts est de 6,02% contre 6,14% au 31 décembre 2020.

Au 30 juin 2021, la valeur du patrimoine global d’INEA s’établit à 974 M€ (droits compris), en croissance de 5,8% sur 6 mois. Elle est en phase avec l’objectif du milliard d’euros en patrimoine d’ici fin 2021.


Croissance de l’Actif Net Réévalué par action (> 7%)

Les Actifs Nets Réévalués par action recommandés par l’EPRA sont tous en hausse de plus de 7% au 30 juin 2021.

Le cours de l’action a progressé de 4,6% sur les six derniers mois, clôturant à 40,8 € au 30 juin 2021.
La décote est de 26% par rapport à l’ANR NRV.


Perspectives : le milliard en ligne de mire

Forte des très bons résultats enregistrés au cours du premier semestre, INEA poursuit son programme d’acquisition en ciblant toujours des immeubles neufs, green, situés dans des quartiers porteurs des principales villes régionales.


Philippe Rosio, Président-directeur général d’INEA, commente ces résultats semestriels :

« L’excellente performance réalisée dans un contexte de sortie de crise est très prometteuse. L’immobilier « humain » qu’a développé INEA répond manifestement aux attentes actuelles. Les résultats engrangés le prouvent ».



Le rapport financier semestriel d’INEA est disponible ici.

Téléchargez le communiqué


Prochain communiqué : chiffre d’affaires du 3ème trimestre 2021, le 7 octobre 2021.


[1] Les comptes ont fait l’objet d’un examen limité par les commissaires aux comptes selon les normes d’exercice professionnel applicables en France.